Unité Pastorale Val d’Attert

Agenda paroissialHoraire des célébrations

L'Unité Pastorale

est composé de 9 paroisses, 4 chapelles et une grotte de Lourdes

À propos de nous

L’Unité Pastorale Val d’Attert est bien plus qu’un ensemble de paroisses et de monuments religieux.

Nous sommes avant tout une communauté de croyants, ayant à coeur de suivre les pas du Christ et d’oeuvrer au mieux pour notre région.

                                                             Concours de dessins/photos
L’Équipe pastorale propose, cette année encore, un concours de dessins et de photos ouvert à tous les paroissiens sur le thème de Noël : « Et si Noël m’était conté aujourd’hui ? » Les dessins sont à remettre sous enveloppe, en format A4, à l’abbé Arnaud (au presbytère de Thiaumont ou après une messe).
Les photos sont à envoyer par mail à l’adresse secteurpastoralattert@gmail.com (format jpeg, min 300 dpi ou 2480x3508 pixels).
Date limite de remise des œuvres : le 29 décembre 2023. La remise des prix (par catégorie d’âge) se fera le dimanche 7 janvier, à Nobressart, après la messe de l’Épiphanie.

L’Avent : une invitation à la vigilance
Abbé Arnaud Ngouédi
Le temps de l’Avent nous rappelle cette attitude fondamentale du chrétien : la vigilance, car nous attendons la venue du Seigneur, et nous le faisons en demeurant attentifs à nos frères les plus fragiles et qui frappent à la porte de nos cœurs. La vigilance est un signe de sagesse et d’humilité, qui est la voie royale des chrétiens. C’est une attitude essentielle du chrétien. Elle implique d’être attentif dans nos choix, tout en suivant une cohérence de vie. De ce fait, le temps de l’Avent aide afin d’opérer une conversion du cœur. La liturgie nous aide à vivre ce temps de grâce. Elle nous aide à avoir un cœur tourné vers Dieu. C’est une tension à la présence imminente du Christ. La vigilance est donc l’attitude avec laquelle nous devons vivre chaque fragment de notre vie personnelle et commune comme étant immensément précieux, ou mieux comme étant le seul à notre disposition parce que c’est le moment présent. Mais c’est seulement en retournant vers le Seigneur de tout notre cœur, dans l’attente de sa venue et de son retour, que nous pouvons hâter le règne de Dieu. La vigilance réclame la conversion pour lutter contre la somnolence, l’inattention et l’oubli. La parole vigilante ne dit donc pas directement quelque chose à faire, mais plutôt une façon de vivre et de regarder. L’impératif de regarder avec un cœur
éveillé − c’est-à-dire avec attention et perspicacité − implique la lucidité de ne pas se laisser tromper par les apparences, ainsi que la clairvoyance qui nous permettra de reconnaître dans une grotte l’Enfant, « messager de paix », qui « apporte au monde le sourire de Dieu ». Pour être bibliquement et chrétiennement vigilant, une conversion du cœur et des « yeux » est donc nécessaire. En eff et, sans une profonde conversion, il n’est pas possible de vivre l’attente, l’espérance et la joie pour la venue du Seigneur. Savoir que Dieu n’est pas loin, mais proche, qu’il n’est pas indiff érent, mais compatissant, qu’il n’est pas étranger, mais Père miséricordieux et qu’il nous suit amoureusement dans le respect de notre liberté : tout cela est le motif d’une vigilance accrue et d’une joie profonde que les événements quotidiens ne peuvent altérer.

Journal Paroissial: « Le Sel de l’Attert »
Depuis quelques années, notre journal paroissial n’avait plus de nom. Nous avons pensé qu’il était important d’en trouver un. Après plusieurs réfl exions, nous avons retenu une proposition faite dans le cadre de l’enquête relative au Chantier paroissial, pour trouver le nom de notre future Unité pastorale : « Le Sel de l’Attert », allusion à la parole de Jésus dans la Bible : « Vous êtes le sel de la terre » (Mt 5, 13). Quelques explications de ce nouveau nom s’imposent. « L’Attert » C’est évident ; cela renvoie à notre commune, mais cela peut aussi renvoyer à la rivière qui la traverse… Nous savons l’importance d’une rivière ou de l’eau dans la vie des hommes. C’est pourquoi, par analogie, cette rivière nous renvoie aussi à la Parole de Dieu : « Heureux est l’homme qui […] se plaît dans la loi du Seigneur et murmure sa loi jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps, et jamais son feuillage ne meurt ; tout ce qu’il entreprend réussira » (Psaume 1, 1-3). « Le Sel » Deux textes nous interpellent : « Ayez du sel en vous-mêmes, et vivez en paix entre vous » (Mc 9, 50) et « Que votre parole soit toujours pleine de grâce et assaisonnée de sel, afi n que vous sachiez comment il faut répondre à chacun » (Colossiens 4:6). Être sel, c’est donner autour de nous le goût de vivre, car, quand nous rendons la vie belle à ceux qui nous sont confi és, notre existence prend un sens. « Si, face à la multitude d’obstacles, nous nous demandons : “À quoi bon continuer à nous battre ?”, rappelons-nous que peu de sel suffi t à donner de la saveur. Par la prière, nous apprenons à nous regarder comme Dieu nous regarde : il voit nos dons, nos capacités. Ne pas nous aff adir, c’est nous engager corps et âme et faire confi ance aux dons de Dieu en nous. » Ce journal se veut donc un canal qui vient arroser notre vie spirituelle pour que nous puissions porter du fruit et aider chacun à être sel de la terre. C’est tout un programme ! C’est pourquoi nous avons besoin des talents de tous et toutes (telecharger le questionnaire ici).