Unité Pastorale Val d’Attert

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L'Unité Pastorale

est composé de 9 paroisses, 4 chapelles et une grotte de Lourdes

À propos de nous

L’Unité Pastorale Val d’Attert est bien plus qu’un ensemble de paroisses et de monuments religieux.

Nous sommes avant tout une communauté de croyants, ayant à coeur de suivre les pas du Christ et d’oeuvrer au mieux pour notre région.

Transformer des moments stériles
en temps féconds

C’est octobre, le mois traditionnellement désigné comme le mois du Rosaire. Cette tradition a commencé en 1883 (sous le pape Léon XIII).

Le mot « Rosaire » rappelle le choix de roses offertes en signe de foi à la Vierge Marie. Le bienheureux Alain de La Roche O.P. (1428-1475) préférait appeler cette prière « Le psautier de Notre-Dame » plutôt que rosaire, en lien avec les 150 psaumes qui trouvaient leur équivalent dans les 150 Ave Maria du rosaire quand les trois séries du rosaire (5 joyeux, 5 douloureux et 5 glorieux) comportaient 150 grains en tout. L’arrivée des mystères lumineux, décidée par le saint pape Jean-Paul II, a élevé à 20 mystères le cycle de la prière, qui inclut ainsi la vie publique de Jésus, outre l’Enfant, la Passion et la Gloire de la vie de Jésus.

Par définition donc, un rosaire est un ensemble de 4 chapelets médités à l’aide de ce qu’on appelle les « mystères du rosaire ». Par habitude, les mystères joyeux sont récités le lundi et le samedi, les douloureux le mardi et le vendredi, les lumineux le jeudi et les glorieux le dimanche (sauf pendant le carême ou l’avent).

Toutefois, saint Jean-Paul II conseille : « Cette indication n’entend pas toutefois limiter une certaine liberté dans la méditation personnelle et communautaire, en fonction des exigences spirituelles et pastorales […] qui peuvent susciter d’heureuses adaptations ». (Rosarium Virginis Mariae, n. 38)

Permettez-moi de mentionner quelques conseils. À chaque épisode de la vie de Jésus, on a coutume d’associer un fruit, c’est-à-dire un enseignement de la part de Jésus ; qu’est-ce que cet épisode peut nous apprendre ? De temps en temps, on peut aussi utiliser une clausule, c’est-à-dire un petit morceau de phrase ajouté à chaque « Je vous salue Marie » pour approfondir la méditation du mystère en cours. Si vous vous sentez aride, vous pouvez utiliser un livre sur le chapelet qui développe une méditation sur chaque mystère du rosaire. Mais n’hésitez pas à faire confiance à l’Esprit-Saint qui vous inspirera durant votre prière du rosaire ! On peut aussi confier des intentions lors de chaque dizaine du chapelet : prier pour la guérison spirituelle, la guérison physique…

Il est possible de prier le chapelet à peu près partout, à des moments variés. Cependant, le mieux est de le prier dans une ambiance paisible et au calme pour méditer sereinement le texte de l’Évangile.

Quand vous avez envie de prier le chapelet, il faut avoir l’objet à portée de main ; sinon, l’envie pourra vous passer rapidement ! Si vous voulez réciter le chapelet discrètement, vous pouvez avoir dans votre poche un dizainier. C’est un outil fort pratique pour dire le chapelet, notamment dans la voiture. Avant d’utiliser le chapelet, il est souhaitable de le faire bénir. C’est un excellent moyen de lutte dans le combat spirituel. Il est d’ailleurs conseillé d’avoir sans cesse sur soi un objet bénit. Sans tomber dans la superstition, il est clair que Dieu se manifeste et ce n’est pas un objet comme un autre !

Chers lecteurs, trouvez un moment dans votre semaine que vous considérez comme stérile ou perdu et recyclez-le en temps du chapelet : transformez des moments stériles de la semaine en temps féconds.

Journal Paroissial: « Le Sel de l’Attert »
Depuis quelques années, notre journal paroissial n’avait plus de nom. Nous avons pensé qu’il était important d’en trouver un. Après plusieurs réfl exions, nous avons retenu une proposition faite dans le cadre de l’enquête relative au Chantier paroissial, pour trouver le nom de notre future Unité pastorale : « Le Sel de l’Attert », allusion à la parole de Jésus dans la Bible : « Vous êtes le sel de la terre » (Mt 5, 13). Quelques explications de ce nouveau nom s’imposent. « L’Attert » C’est évident ; cela renvoie à notre commune, mais cela peut aussi renvoyer à la rivière qui la traverse… Nous savons l’importance d’une rivière ou de l’eau dans la vie des hommes. C’est pourquoi, par analogie, cette rivière nous renvoie aussi à la Parole de Dieu : « Heureux est l’homme qui […] se plaît dans la loi du Seigneur et murmure sa loi jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps, et jamais son feuillage ne meurt ; tout ce qu’il entreprend réussira » (Psaume 1, 1-3). « Le Sel » Deux textes nous interpellent : « Ayez du sel en vous-mêmes, et vivez en paix entre vous » (Mc 9, 50) et « Que votre parole soit toujours pleine de grâce et assaisonnée de sel, afi n que vous sachiez comment il faut répondre à chacun » (Colossiens 4:6). Être sel, c’est donner autour de nous le goût de vivre, car, quand nous rendons la vie belle à ceux qui nous sont confi és, notre existence prend un sens. « Si, face à la multitude d’obstacles, nous nous demandons : “À quoi bon continuer à nous battre ?”, rappelons-nous que peu de sel suffi t à donner de la saveur. Par la prière, nous apprenons à nous regarder comme Dieu nous regarde : il voit nos dons, nos capacités. Ne pas nous aff adir, c’est nous engager corps et âme et faire confi ance aux dons de Dieu en nous. » Ce journal se veut donc un canal qui vient arroser notre vie spirituelle pour que nous puissions porter du fruit et aider chacun à être sel de la terre. C’est tout un programme ! C’est pourquoi nous avons besoin des talents de tous et toutes (telecharger le questionnaire ici).